Les banlieues en france
Une banlieue se définit morphologiquement : communes qui jouxtent une ville centre en continuum morphologique urbain. Donc, quand on parle de banlieue autours de Rennes, c'est Cesson-Sévigné, Bruz commence à être en continuum, Saint Grégoire, Chantepie, Saint Jacques. Vezin va progressivement devenir une banlieue. [ Couronne périurbaine, commune périurbaine : 45% de la pop active va travailler dans le pôle urbain (ville centre + banlieue), comprenant 5 000 emplois minimum. Pas de notion de continuité du bâti ! Certains auteurs définissent le pu comme banlieue + pu : NON !] Les banlieues s'appuient sur les communes qui jouxtent la commune centre. On est donc devant qqch de particulier : elle a généralement une image négative, elle porte en elle le principe même que c'est une société avec diff, pbs,.... c'est faux !! Les banlieues sont très diversifiées, et n'est-ce pas cela qui rend paradoxal l'image qu'on en a ? → La diversité des banlieues ne les rend elle pas paradoxal ?
I - La diversité des banlieues
Rq : sud de Paris, entre Corbeille et Villeneuve ste George, commune de Vigne-Sur-Seine : commune relativement pauvre, marquée par la faiblesse des act tertiaires, a été pendant très lgt communiste / juste à côté, autre banlieue, Draveil, commune résidentielle, très peu d'immeuble, jouxtant la Seine, trous d'eau de la Seine transformé en base de loisirs (le port aux Cerise), comporte une partie de la forêt de Cénart / à l'ouest de Draveil, quartiers très particuliers qui ouvrent sur une autre commune très résidentielle : Champrozey, commune ultra résidentielle. → La diversité est là ! A) Définition D'abord morphologique. Puis INSEE. Puis quantitative : je fais le croquis de Dijon. B) La morphologie des banlieues Très particulière, car ces banlieues se sont dv au sortir de la 2nde GM, quand les villes se sont amplifiés : accélération de l'exode rural, et on commence de la ville centre à aller vers les banlieues. Étalement urbain fondé sur