Les bons et mauvais filons du maroc
FICHE DE LECTURE
Travail présenté à :
M. FADEL Achour
Travail présenté par :
François Jean
Le lundi 5 Novembre 2012
Des marchés à prendre à l’export, Les bons et les mauvais filons
La mondialisation actuelle a changé les méthodes de commerce ancestral et pousse désormais, les pays à se spécialiser davantage dans certains secteurs afin de produire plus que la demande intérieure dans le but d’exporter aux autres pays. Plusieurs secteurs d’export sont présents au Maroc vu la main-d'œuvre bon marché et l’abondance de certaines ressources. L’article de Ilham BOUMNADE dresse un portrait financier des secteurs d’export du Maroc. Cet écrit fait l’ébauche des bons et des mauvais filons du Maroc avec des chiffres actuelle et représentatif de la situation du marché.
Le marché actuel est bouleversé par une crise économique mondiale, c'est-à-dire que l’Union européenne et les Nord-Américains ont connu de forte baisse économique et cela se répercute sur plusieurs autres pays même le Maroc qui exporte beaucoup en Europe ainsi qu’en Amérique du Nord. Malgré tout, le Royaume a été capable d’augmenter de 4,2% ces exportations cette année. Par contre, il est important d’analyser les nouveaux secteurs en forte hausse et ceux qui sont en baisse pour bien comprendre l’avenir économique marocaine.
Le Maroc reconnu depuis plusieurs années pour son exportation d’huile d’olive brute ou raffinée connait actuellement une impasse à la fin août avait mit seulement 7.109 tonnes comparativement à 35.652 tonnes en 2011. Cette baisse serait essentiellement due à une période de froid intense en janvier et février qui aurait réduit de beaucoup la quantité et la qualité des récoltes. Ceci rend perplexe l’atteinte de l’objectif du plan Maroc vert qui est d’exporter plus de 44 milliards de DH dans les olives, les agrumes et les fruits et légumes pour 2020.
Le secteur de l’agrume a aussi connu une baisse moins importante que le secteur de l’olive et celle-ci