Les caractéristiques de l'exclusion
L’exclusion sociale peut se présenter sous plusieurs formes ou aspects.
Sur le point de vue physique, les personnes peuvent être exclues.
• Le racisme peut être défini comme une idéologie qui affirme la différence des races et la supériorité de certaines, en prônant souvent l'élimination des autres ou aussi l’hostilité envers les personnes d'origine raciale différente (ce qui serait plutôt de la xénophobie).
Le racisme date de bien longtemps avant notre époque. Dans l'Antiquité grecque, l'affirmation d'une identité collective par opposition à certaines ethnies et à certains groupes de population se traduisait par le fait que les citoyens des cités appelaient « barbares » ceux qui vivaient en dehors des limites du monde grec.
Le racisme en lui-même a plusieurs formes, l’extrémisme, prenons l’exemple de la Shoah de la Seconde Guerre mondiale (antisémitisme) et le génocide des Tutsi et des Hutu modérés au Rwanda en 1994. Il y a aussi le racisme « modéré » des personnes uniquement hostiles ou gênées sans vraiment agir.
Ce fléau a été combattu par de nombreux grands hommes comme Albert Einstein ou aussi Nelson Mandela mais il a été également, en quelque sorte, « encouragé » par Arthur de Gobineau ou Karl Marx lui-même.
Le racisme mène à la mise à l’écart d’une personne ou d’un groupe. Au point culminant du racisme aux Etats-Unis, les Noirs devaient s’asseoir à l’arrière des bus, la place des « pestiférés ». Cette règle entraîna des hostilités envers les Noirs, ils étaient considérés comme des « malpropres », des « sous-hommes », des préjugés accompagnés de vexations à répétition, d’humiliations.
La race noire était victime de préjugés et n’avait donc pas les mêmes droits que les autres juste à cause de leur couleur de peau alors que le plus souvent, c’est en fait de l’incompréhension. On ne veut pas chercher à comprendre autrui, faire preuve d’empathie et cela conduit à un non-respect des droits.
Lutter contre le racisme,