Les chinois face aux japon
Les protestations chinoises se sont produites comme réponse à l'annonce, le mardi passé, dont le Japon avait acheté par environ 20,5 millions d'euros trois îlots de l'archipel dépeuplé à son propriétaire privé, un millionnaire nippon.
Pékin est le centre des concentrations par le deuxième jour consécutif. Dans la capitale, des centaines de citoyens(citadins) protestent depuis par le matin en face du siège de l'Ambassade nipponne, dans le district de Chaoyang, en faisant chorus à l'hymne national et en lançant des bouteilles
Les (îles) Diaoyu sont les notres", les manifestants implorent à Pékin, appuyés des pancartes en carton ou 'iPads' dans que l'on peut lire ' Diaoyu chinois ' - chez un mandarin et en anglais-, et accompagnés des portraits dont il était un leader du pays Mao Zedong et de drapeaux.
Le dispositif de sécurité aux portes de la légation nipponne a vu un aujourd'hui augmenté avec une plus grande présence de la police municipale, paramilitaire et d'antitroubles.
Ceux-ci ont établi un fort cordon de sécurité pour maintenir certaine distance entre les manifestants et le siège diplomatique, et contrôler la protestation.
Des fontaines(sources) nipponnes à Pékin ont confirmé que les travailleurs de la légation japonaise ne se sont pas trouvés affectés par les protestations et par le lancement d'objets contre l'édifice de l'ambassade - que qu'hierLes restaurants japonais placés dans une rue proche du siège nippon de la capitale restent fermés et dans tous, des drapeaux suspendus chinois et des cartels peuvent être vus dans une défense de la souveraineté chinoise des Diaoyu, appelées Senkaku par