Les cles du jugement
- «Ces avancées spectaculaires de la biologie ne sont pas neutres.»
- «C’en est au point qu’il faut se poser des questions essentielles. »
- «Mais nous vivons dans une civilisation où la loi et la morale se rejoignent pour considérer l’enfant comme le fruit de l’amour d’un homme et d’une femme. »
•Les alternatives :
- «Tous suscitent des interrogations éthiques et sociales. »
- «L’un des principaux risques des méthodes révolutionnaires qui se développent est de déshumaniser et la conception et la notion même de l’être humain. »
•Les gradations :
- «Après avoir acquis cette liberté jugée si importante, les couples découvraient soudain l’exigence inverse : avoir tout de suite, sans attendre, l’enfant dont le désir apparait soudain. »
- «Celle de savoir ce que représente réellement l’enfant pour un couple, pour un homme, pour une femme. »
- «Qu’il s’agisse le l’embryon, le manipulé, congelé, rétrocédé, ou de l’enfant auquel on impose une parenté imprévu, pleine de dangers. »
•Les paradoxes :
- «Les médecins et les biologistes qui sont directement impliqués dans ces techniques, même s’ils sont conscients et heureux de rendre d’immenses services à des milliers de couples stériles, se posent, malgré cela, beaucoup de questions sur le sens et la démarche et sur les motivations de leurs patients. »
- «On peut s’inquiéter de cette « médecine du désir » que les spécialistes pratiquent, parfois sans enthousiasme, sur des biens portants dont le seul mal est un mal d’enfant. Les moralistes s’en inquiètent à juste titre et se demandent si ce désir est entièrement justifié et s’il faut, pour la satisfaction de quelques uns, mettre en œuvre des techniques qu’ils risquent de bouleverser ce qu’il y a d’essentiel dans l’homme.