Dans l’investissement direct étranger (IDE) d’aujourd’hui, les Etats et les FTN, les deux ont la choix à double sense. Du côté des Etats, beaucoup plus de gouvernements se mettent dans la concurrence pour attirer les FIN avec leurs politiques de plus en plus favorable, notamment les économies en transition post-socialiste et les pays en developpement ; du côté des FTN, ils ont fixé leur critère plus strict et prennent des décisions plus prudentes quant au choix de localisation.
L’autrefois, dès que les FTN investissent dans les territoirs proches de matière première ou d’énergie, ils étaient obligés à dépendre de ces territoirs, par conséquent, leurs activités ont contraintes et ils ne peuvent pas mettre en place leurs stratégies expansionnistes sur le marché local. Aujourd’hui, les FTN se trouvent dans un place plus favorable que les pays d’accueil. Ils cherchent leur pays ciblés qui ont moins de contraintes en matière de la territoire (douane), de la politique économique, de l’infracstructure, des habitudes et des moeurs et de l’environnement social. Les FTN pratiquent des stratégies de déterritorialisation, la stratégie de rationalisation de la produciton et la stratégie globale. Avec ces moyens, ils élargissent leur marge de mainoevre et réduissent leur soumission aux pays d’accueil. La globalisation de firmes non seulement rend les activités financières et commerciales plus pratiques et variées, mais aussi elle rend le production industrielle et la fourniture des services possible partout dans le monde. Par exemple, les compagies d’informatique françaises installées au Sénégal offrent leurs services pour les clients français, ils les aident à résoudre leur problèmes techniques par l’internet ou par la téléphone à distance. Réellement, une telle compagnie implantée à l’étranger ont beaucoup d’avantages, ils dépensent moins et gagnent plus avec les mêmes qualités de service. Grâce à la progression de la technologie, les FTN sont plus de liberté à choisir leur