Les diaboliques
« Les Diaboliques » sont l’œuvre emblématique de Barbey apparut en 1884, elles s’organisent autour de figures féminines qui intriguent par leur mystère et leur provocation. Elles sortent en pleine effervescence des pèlerinages, des comités catholiques et royaux pour organiser l’ordre moral et la patrie, horrifies le peuple. La surprenante immoralité de cette œuvre offusqua les magistrats car cela allait totalement à l’encontre de mœurs de son temps (Il y dénonce d’ailleurs une société bourgeoise.) B. fait partie du mouvement du décadentisme (courant éphémère fin XIX*s) dénonce la vision réaliste et naturaliste du monde obséder par l’au-delà, la magie noire, les sciences occultes, le satanisme.
« La vengeance d’une femme » est l’histoire d’une duchesse espagnole qui, pour punir son mari d’avoir tué son amant, déshonore le nom de son mari en se prostituant : « Les marbres sont nue, et la nudité est chaste. C’est même la bravoure de la chasteté. » c’est à travers les personnage de cette œuvre que Barbey examine la présence du Mal et démontrer que, sous l’optimiste positiviste de son époque, ce cache les tourbillons de l’Enfer ce : « Ciel creux ».
Le titre « Les Diabolique » nous plonge déjà dans un univers sombre et satanique et pourtant cela nous étonne car Barbey est un fervent catholique. Cependant pouvons-nous vraiment considéré Barbey comme un écrivain catholique ? Si nous mettons à coté ses textes polémistes (critique modernité et positivisme de sa société), ses œuvres mêlent aussi les ravages de la passion charnelle (Une vieille maîtresse, 1851), filiale (Un prêtre marié, 1865 ; Une histoire sans nom, 1882), politique (Le Chevalier des Touches, 1864) et mystique (L’Ensorcelée, 1855). Voyons voir un EXTRAIT de « vengeance d’une femme » J'ai souvent entendu parler de la hardiesse(*qqc d’audacieux) de la littérature moderne; mais je n'ai, pour mon compte, jamais cru à cette hardiesse-là. Ce reproche n'est qu'une forfanterie(*prétention)...