les différentes modalités de financement
I) Financement interne et financement externe
Question 3 : (doc 4) L’intérêt de ce tableau est de confronter principalement le taux d’investissement qui montre l’importance du flux de l’investissement au total par rapport à la valeur ajoutée. Et le taux d’autofinancement qui mesure la part occupée par l’autofinancement dans le financement de l’investissement total. Le taux d’investissement sur à progresser sur les 3 périodes étudiées (1990-2000-2008). L’évolution du taux d’autofinancement des entreprises à connu deux phases entre 1990 et 2000 : une augmentation au cours des années 90 puis en baisse au cours des années 2000. Une diminution du taux d’autofinancement signifie que les entreprises financement une part de moins en moins importante de leur investissement grâce à leur épargne.
De ce fait, elles font appel à l’extérieur pour financer leur investissement ce qui à pour effet d’augmenter leur taux d’entêtement.
L’autofinancement n’entraine pas de charges financières, conséquences, il permet de conserver l’indépendance de l’entreprise ainsi que sa capacité d’endettement. En revanche, l’autofinancement limite les dividendes versés aux actionnaires qui risquent d’être mécontents. Il est par ailleurs limité et ne peut suffire à financer la totalité des investissements nécessaires.
2- Les besoins et les ressources de financement au niveau de l’économie nationale
Question 4 : Les secteurs institutionnels français présentant une capacité de financement sont les ménages, les entreprises financières, les secteurs institutionnels (ISBLSM). En revanche, les entreprises non financières et les administrations publiques ont un besoin de financement.
La situation du secteur institutionnel « reste du monde » se calcul par différence entre la totalité des besoins et la totalité des capacités de financement.
Le secteur institutionnel français a globalement besoin de financement. La France dépense plus