les diiferents points de vue de Zola, Flaubert et Hugo
Ce corpus s’organise autour de trois textes datant du XIXème siècle écrits par Victor Hugo, Gustave Flaubert et Emile Zola. Grâce aux trois textes nous comprendrons les visions du peuple. Pour repondre à la question nous allons tout d’abord voir les trois points de vue des différents auteurs puis les visions du peuple. I-3 points de vue différents
Dans le texte A Victor Hugo utilise un point de vue externe « s’était chargé de la mise en train », accumulation des verbes à l’imparfait « Il allait, venait, montait, descendait, bruissait, étincelait ». De la ligne 14 jusqu’à la ligne 25 il y a un dialogue entre Gavroche et les travailleurs. Dans le texte B le point de vue est interne « Hussonnet et Fréderic se penchèrent sur la rampe ». La description du texte commence par l’imparfait « c’était le peuple ». Dans le texte C, Zola utilise un point de vue omniscient avec de la subjectivité, pour décrire il utilise aussi des hyperboles « élan superbe », « terriblement grandiose ». II- Des visions du peuple différentes
Dans le texte A les travailleurs représentes les révolutionnaires, Hugo utilise Gavroche comme symbole de la révolution. Il est valorisé par une métaphore de la lumière et par une métamorphose en ange. Dans le texte C Flaubert compare le peuple a « un fleuve refoulé par une marée d’équinoxe ». Regard bourgeois sur le peuple « les héros ne sentent pas bon » « quel mythe » il y du mépris envers le peuple et d l’ironie. Flaubert fait une animalisation du peuple « un long mugissement ». Cette scène prend une dimension carnavalesque « le peuple souverain ». Donc il y a un renversement des valeurs, un désordre dans ce peuple. Dans le texte B et C Flaubert et Zola ont une vision apocalyptique dans le texte C « chant de la guerre, marseillaise, la paix, bataillons, tambours, trompettes » ces deux auteurs montre les quatre éléments l’air, le feu, la terre et l’eau dans le texte B « milieu des sifflets, brulé, chant tomba, mer