Les dynamiques religieuses
Daguerre est très intéressé par les captures d’images mises au point par Joseph Nicéphore Niepce.
Joseph Nicéphore Niepce est d’abord réticent à montrer les avancées de ses travaux « héliographiques ». Puis la connaissance de Daguerre en matière de chambre noire va conduire les deux hommes à signer un contrat d’association en 1829.
L'Héliographie est un technique d'impression des images photographique sur papier utilisant un procédé combinant le transfert d'un positif photographique sur un vernis photosensible.
Daguerre se lance dans des travaux de recherche en chimie. Il utilise l’iode comme agent sensibilisateur sur une plaque de cuivre recouverte d’une couche d’argent. Il améliore la technique élaborée par Niepce afin de réduire le temps de pose nécessaire à « l’impression » de l’image sur les plaques qui pouvait jusqu’alors durer plusieurs heures. Niepce meurt prématurément en 1833. Daguerre poursuit les recherches sur les propriétés photochimiques de l’iode et découvre en 1835, que la vapeur de mercure agit comme révélateur de l’image. Avec le principe du développement de l’image latente. En 1837, il parvint à fixer ces images avec de l’eau chaude saturée de sel marin. Le terme « daguerréotype » définit aussi bien l’appareil de prise de vue que l’œuvre photographique. Le daguerréotype se répand rapidement dans toute la France et en Europe. La commercialisation du matériel nécessaire à ces images photographiques fit la fortune de Daguerre. []Au début du XIXème siècle, on commence à se servir des effets de phénomène de persistance rétinienne à des fins ludiques. Le Belge Joseph Plateau réalise un phénakistiscope en 1832.
Le Français Emile Reynaud construit le praxinoscope