Mais en plus de ces Pays ennemis comme les Usa, l’Angleterre et la Russie, au long de Ses Mémoires De Gaulle fustige aussi les partis politiques. Contre eux, il lance des attaques. Parmis ces partis, le parti communiste est le plus visé car il est le plus redouté . Pour DG les partis politiques visent un intêret personnel et non « général » « Ce qui me frappait surtout, dans les partis qui se reformaient, c'était leur désir passionné de s'attribuer en propre, dès qu'ils en auraient l'occasion, tous les pouvoirs de la République et leur incapacité, qu'ils étalaient par avant, de les exercer efficacement » (p. 126). On peut ici faire référence au conflit entre De Gaulle qui détient le pouvoir et l’Assemblée consultative page 127 « A l’Assemblée consultative, cette facon de considérer de Gaulle à la fois sous un angle favorable et sous un autre qui ne l’était guère. »
Celle-ci aurait voulu que le pouvoir dépendit d’elle (page 130 vous pouvez lire ce conflit)
La France des partis est aussi évoquée, leurs intérêts y sont particuliers ou catégoriels divisant et fragilisant ainsi le pays. Il affirme page 125 « A mesure que se précisait la perspective électorale, chacune s’occupait d’elle-même, s’organisait pour son compte, dressait un programme séparé ». On peut aussi citer la critique explicite de la France des partis page 283 « Encore un peu, mourait l'âme de la France » (p. 283) – « Quinze régimes s'étaient succédé depuis 1789, [...] aucun ne réussissant à assurer l'équilibre, tous emportés par des catastrophes et laissant après eux d'ineffaçables divisions ». D’après De Gaulle ces partis ont pour but de posséder le pouvoir mais ils sont pourtant incompétents « incapables d’exercer efficacement » page 126. Ils parlent donc mais n’agissent pas. Leurs grands discours sont remplis de critiques mais le contenu est faible, il n’y a pas d’acte ils sont « rigoureux dans la critique et l’exclusive mais chimériques et désaccordés dans tout ce qui est constructif » (page