Les eujeux de la stratification scialo
Organisation du travail et Croissance :
Productivité du W = Production / travail
Introduction :
Les entreprises depuis le début du capitalisme cherchent en permanence à rentabiliser leurs activités afin de gagner des parts de marché supplémentaires en gagnant en compétitivité. Il leur faut donc sans cesse chercher à obtenir des gains de productivité.
Pour ce faire, il faut baisser les couts de production et plusieurs moyens existent :
Obtenir une baisse du prix des consommations intermédiaires ou du prix du travail. Mais ces deux moyens ne dépendent pas toujours de l’entreprise.
En revanche, la recherche d’une meilleure organisation du travail est un autre des moyens utilisés par l’entreprise pour augmenter sa productivité et qu’elle peut d’avantage maitriser.
L’idée n’est pas récente et Adam Smith au dix-huitième siècle déjà a montré comment la division du travail permet d’accroitre le volume des richesses crées. Mais il faudra attendre la fin du XIX ème siècle pour qu’apparaisse les 1er principes d’une organisation scientifique du travail.
Le taylorisme puis le fordisme avec l’invention du convoyeur et l’extension du travail à la chaîne, ont ainsi généré des gains de productivité important.
Mais les effets de cette forme d’organisation du travail se sont estompés dans les années 1970 et depuis les entreprises cherchent à obtenir un redémarrage des gains de productivité en adoptant une nouvelle organisation du travail : le toyotisme. Mais cette forme d’organisation du travail d’origine japonaise qualifiée dans un premier temps de post-taylorienne, n’a pas engendré tous les effets attendus et la réalité de l’organisation du travail fait davantage penser à un néo-taylorisme.
C’est que ces modes d’organisations du travail successifs produisent des répercussions sur les relations professionnelles, sur la structure sectorielles des emplois, sur les qualifications.
D’autre part, la conjoncture économique depuis les années 1970 contrainte