Les femmes dans les faux monnayeurs de gide
La femme occupe dans se roman une place secondaire du fait que Gide y assume son homosexualité et insiste donc naturellement plus sur l'homme. La femme joue quand même un rôle majeur dans le destin des hommes ne leur apportant pas toujours une bonne influence.
Les femmes apparaissent dans différents statues ; nous avons les mères, Mme Profitendieu qui a un fils illégitime et un autre qui commet l’adultère et qui s'évadera de la bourgeoisie à cause du manque de liberté et en opposition, plus ou moins, Mme Molinier qui s’investit entièrement dans ses enfants et qui contrôle les écarts de son mari. Mères qui ratent toutes deux l'éducation de leur enfants ; on reproche donc à la femme de ne pas être une bonne mère et de pousser leurs enfants à l'échec. Mme Molinier délaisse Olivier au main de Édouard, ce qui est pas non plus une grande preuve d'attention pour son fils.
Et il y a aussi les femmes qui marchent par paire comme Laura, marié à tord avec un homme qu'elle n'aime pas, commettant l'adultère et tombant en ceinte, et ne semblant pas sûr d'elle avec Lady Griffith femme affirmé, ferme d'esprit, se trompant rarement dans ses choix et très individualiste.
Ou bien Sarrah, féministe dévergondée s'opposant avec sa sœur Rachel, presque soumise à sa famille et irréprochable de conduite.
Mais aussi Mme Vedel et Mme Sophroniska étant toutes deux un peu rêveuse voir même idéaliste.
À travers ces femmes, Gide nous montre son « point de vue homosexuel » comme quoi la femme ne satisfait pas l'homme.
Dans le cas Lady Griffith, nous avons affaire à une femme qui vas se tuer sans le savoir puisqu'en influençant Vincent sur l'individualisme, il en devient fou et la tue, ruinant du coup sa propre vie.
Gide renvoi la femme soit à une arme destructrice de l'homme soit à un objet sexuel et ne sont jamais mise en avant pour leur beauté ou leur charme.
À travers la femme soumise (Rachel) et la femme