Les finalités en eps
Les finalités dans les programmes d’EPS
Etudes de texte :
Loucher et Vivier : « la santé dans l’histoire de l’éducation physique » in Gleyse, l’éducation physique au XX° siècle. Approches historiques et culturelles, Paris, Vigot, 1999.
Il emploie un vocabulaire très riche, son texte est construire avec une phrase riche puis une explication de celle-ci.
Il aborde la santé. Il s’intéresse à la manière dont on peut appréhender la santé. 2 conceptions différentes : pour l’appréhender on peut le faire à partir d’une norme d’excellence de bonne santé. A partir de là, il trouve qu’il n’y a pas grand monde en bonne santé. Cette norme doit pouvoir être vérifiée et doit être affirmée en tant que vérité. Norme qui serait établie, norme de conformité, à partir de la moyenne de la population.
Un critère -> verticalité (Ling)
L’approche de Seurin concilie les deux conceptions. On veut que les pratiquants ne soient pas dans la norme d’excellence mais de conformité. La norme de santé des élèves peut être différente de celle de la population. Les enfants sont moins mutilés que les adultes. Ils ont des déficiences mais ça ne touche pas les mêmes aspects. Selon la définition de l’époque, les normes seront différentes et on ne s’attachera pas aux mêmes choses. Peut-on tolérer une marge par rapport à la définition correspondante ? On doit construire un seuil de tolérance à partir d’un échantillon. Pour être dans la doxa scolaire. Cela conduit à une construction de l’évaluation particulière. On apprécie non pas une performance mais un écart en fonction du seuil de tolérance en plus ou moins. Ici ça ne rentre pas dans l’évaluation de la doxa scolaire.
Arnaud : « l’apprentissage de la citoyenneté, une finalité retrouvée pour l’éducation physique » in Terret éducation physique, sport, loisir (1970-2000), AFRAPS, 2000.
Permanence, pour la comprendre, il faut remettre le concept de citoyenneté dans son contexte. On ne peut concevoir que