Il est difficile de bien performer si l’on pense comme le commun des mortels. Bien sûr, chez les humains, pour décrocher un emploi, il faut être le meilleur des appliquant et émettre de nouvelles façons de penser pour impressionner le gérant. Il se passe la même chose chez les fourmis dans le roman intitulé Les Fourmis écrit par Bernard Werber en 2004. Il est impératif pour les humains comme les fourmis qu’ « Il faut penser différemment pour réussir ». Bien entendu, il est certain que penser différemment aide au développement précoce d’une communauté sur le plan de : la communication, la guerre et l’intelligence.

Pour commencer, penser différemment aide et joue en faveur des individus sur le plan de communication. La communication est nécessaire au bon fonctionnement et échanges de connaissances des individus. Dans le premier livre d’une trilogie de Bernard Werber, les fourmis, n’étant pas capables de parler avec leur bouche, communiquent avec des phéromones (dans différents tons et odeurs) pour entretenir des conversations avec leurs pers. Aussi, lorsque les fourmis veulent entretenir une conversation privée et pouvoir s’échanger toutes leurs pensées, elles peuvent lier leurs antennes et créer un CA (communication absolue). Par exemple, à la page 49, la reine Belo-Kiu-Kiuni entretient une conversation privée avec la 327e au moyen de la communication absolue puisqu’elle ne veut peut être pas que les autres fourmis sentent les phéromones dégagés et il est plus rapide de dire ses pensée en CA. « Le dialogue antennaire peut commencer… Bienvenue,,, » (page 49). Sur le coté des humains, Edmond Wells a développé un moyen de communiquer avec les fourmis par hormones qui sortent d’une fourmi synthétique. Là ou plusieurs ont échoués à tenter d’établir une communication avec les fourmis, M Wells s’y est pris différemment et a réussi à compléter la première machine à parler avec ces petits êtres. La communication joue en effet un rôle important et peut être très bien