Les français dans la 1ère guerre mondiale
1ère partie : questions Tout d’abord, le 31 juillet le maire reçoit une dépêche lui demandant de prévenir les personnes ayant des chevaux à se préparer à les emmener au centre de réquisition. Les habitants voyaient venir la guerre mais doutaient encore. Le lendemain la mobilisation est annoncée. Cette fois les habitants ne doutent plus de la véracité de la guerre et ils en sont attristés. Ensuite les hommes abandonnent leurs travaux et se rendent à la mairie. La consternation règne mais les hommes ne se découragent pas car ils espèrent une victoire rapide. Les femmes ont peur mais ne découragent pas non plus. Les soldats sont confrontés une guerre de position (bombardement d’artillerie quasiment incessant et des lignes qui n’évoluent pas ou peu). Ces combats sont déshumanisants car les conditions de vie y sont très mauvaises. En effet le bombardement incessant « laboure » chaque mètre carré. Les soldats supportent ces conditions car ils pensent que la fin de la guerre se rapproche et que s’ils perdent cette bataille la guerre sera perdue. Les industriels Français qui agissaient en concurrents ils y a peu se sont rassemblés et se sont organisés comme s’ils n’étaient qu’un pour rendre la production plus efficace. La coordination des initiatives se fait par l’état, et notamment Albert thomas le ministre des Armements. L’état joue un rôle de fédérateur. Le problème du manque de main d’œuvre est résolu par l’appel aux usines de travailleurs autres que ceux auxquels ils étaient habitués : les femmes et des mineurs. De plus ils ont postés dans les usines des soldats, des étrangers, des travailleurs coloniaux et des mutilés. Tout cela en plus des ouvriers civils qu’il y avait dans les usines à la base. La production de ces objets a pour but de sensibiliser les gens à la commémoration. En effet la croix de guerre ,qui est très souvent sur les monuments aux morts, le coq gaulois (lui aussi souvent sur les