Les garçonnes
Rapide remise en contexte : Après la 1ere GM les femmes se mettent au travail pour remplacer les hommes blessés ou mort au combat, elles enfilent alors un uniforme masculin.
La garçonne est le symbole mythique des années folles, elle se remarque par ses cheveux coupés, ses robes courtes, une silhouette androgyne. Elle incarne l’émancipation de la femme, les opposant de cette émancipation ont directement associés les garçonnes aux lesbiennes, une idée d’homophobie envers les femmes aux cheveux court, qui s’habille comme des hommes, qui pratique un sport est alors ressortie.
Il est vrai qu’a cette époque le marquage du sexe par les vêtements est un trait fondamental au point de vue culturel. Les femmes s’affranchissent donc en portant les habits des hommes, elles bravent les sarcasmes et deviennent des modèles de liberté. Lorsqu’au cinéma évolue des emblèmes garçonnes comme Louise Brooks, les opposants en rajoute une couche en fesant courir la rumeur que la coupe courte provoque la calvitie ou alors qu’elle active la pilosité du visage…
Mais les cheveux court, les pantalons, les matieres souples et les silhouettes androgyne ne sont pas synonyme de masculinité car un nouveau type de féminité s’invente alors. Le cou et la nuque sont mnt dégagés, ce qui mets en valeurs les grandes boucles d’oreille et les longs sautoirs en perle, les bras dénudés permettent le port de nombreux bracelets rigides, les tenues sont qu’en a elles misent en avant grace à de nombreuses broches.
Beaucoup de femmes emblématiques illustrent ce courant comme : George Sand, l'exploratrice Jane Dieulafoy, la créatrice Coco Chanel ou encore l’actrice Marlene Dietrich. Une autre illustration de ce courant est le livre de Christine Bard, LES GRACONNES, en, voici le résumé
Christine Bard, avec Les Garçonnes, propose un fougueux antidote à la remarquable capacité du patriarcat à convertir la rébellion féminine en un reflet de son propre désir ou anxiété. Dans