Les idées de lumières
En France le vie intellectuelle est concentrée a Paris, qui fait figure de capitale intellectuelle de l’Europe au XVIIIe siècle. Le français s’impose, plus que jamais, comme la langue de la culture et des échanges diplomatique. Mais les lumières ne concernent en faite qu’une élite, formée de la grande noblesse et de la haute bourgeoisie surtout financière.
Les principaux penseurs et leurs entourages se réunissent dans des salons, des cafés et les journaux et encyclopédies contribuent a les faire connaitre d’un publique plus large.
Près de 300 cafés s’ouvrent à Paris pour proposer le célèbre liquide noir du même nom, les idées s’échangent. Les cafés les plus renommés portent le nom de leur créateur.
Le café Procope, ouvert en 1695, est un célèbre, et l’un des plus anciens cafés-restaurants de Paris. Il se situe au 13, rue de l’Ancienne-Comédie dans le 6e arrondissement.
Café d’artistes et d’intellectuels, il était fréquenté au XVIIIe siècle par Voltaire, Diderot et D’Alembert. Il reste longtemps un lieu de rencontre d’écrivains et d’intellectuel, d’hommes politiques et du Tout-Paris ( = les personnes les plus en vues, l’élite de Paris )
Comme pour les Cafés, les Salons servait à échanger les idées. La maitresse du lieu s’installait derrière une longue table en forme de comptoir pour préparer le café et des limonades glacées sans exclure les vins et alcools. Des valets en veste et bonnet blanc, appelés « garçon » servaient les participants. Pour réussir un salon, la maitresse du lieu devait s’attacher les services d’un philosophe qui lançait les débats et dirigeait le salon. Ce philosophe attirait alors les intellectuels qui restaient pour les charmes de la maitresse des lieux …
Le Salon de Madame Geoffrin:
Fille de valet de chambre de la Dauphine, elle recueillit le salon de Madame Tencin dès 1749 et lui apporta un rayonnement définitif. Le philosophe