Cet extrait de : « le Botswana, un modèle pour l’Afrique », soulève une question intéressante… En effet, nous devons donc répondre à la question qui est de savoir quels rôles jouent les institutions (une définition théorique) dans la croissance de l’économie d’un pays. Ici nous étudierons ce cas, en nous servants de l’importante croissance qu’a connu le Botswana entre 1965 et 1998. Pour ce faire, je propose donc de revoir la définition d’institution, puis d’appliquer celle-ci sur le Botswana, afin de donner un aspect « pratique » à cette question. Une institution est un ensemble de règles, conventions fixés entre différentes personnes, pratiques, où bien pays d’une même alliance. Cependant, ici nous parlons plus particulièrement d’institutions politiques, qui désignent un ensemble de règles et décisions prisent pour le bien d’un pays. Cela a trait à la politique économique d’un pays. On peut donc dire qu’une institution est primordiale pour le développement d’un pays. Penchons nous donc plus particulièrement sur le Botswana, et sur les institutions dont il joui. Après avoir obtenu son indépendance, nous avons classé le Botswana parmi les 20 pays les plus pauvres du monde. Mais contre toute attente, le Botswana s’est dressé avec une rapidité record… En effet, grâce à son sol riche en minerais (plus particulièrement les diamants), le gouvernement s’es vu doté d’une base solide, à partir de laquelle, il a pu rétablir son pays. Nous apprenons dans ce document que le gouvernement a mis en place une politique économique assez restrictive. En effet, les membres du gouvernement ne profitent pas de cet argent, et cherchent, comme le dit Keynes à investir dans différents secteur afin de relancer l’économie. Le gouvernement botswanais investis donc dans les infrastructures et dans la formation afin de palier au chômage, et de garder sa croissance économique à son pic. Le gouvernement répond aux attentes de la Banque mondiale, et la croissance du PIB reste stable à un