Le rôle des anticipations

Le marché boursier dépend de l’anticipation qui régit à l’intérieur de ce marché financier. Ainsi, l’action d’une entreprise, c’est –à-dire la part des capitaux propres à l’entreprise peuvent augmenter malgré le licenciement puisqu’elles ont été placées avant que le licenciement ne se déclenche. En effet, l’entreprise détenant des actions se doit d’anticiper en entrant sur le marché boursier. Ainsi, les actions demeurent, malgré le licenciement.

Il est nécessaire d’anticiper les actions des autres intervenants afin de pouvoir être prioritaire sur le marché boursier. Il faut donc sans cesse se tenir au courant du cours des autres intervenants si l’on veut maximiser ses gains.

Les institutions financières face au marché

Sur le marché, les entreprises trouvent à se financer par le biais des agents financiers : les banques. En effet, les banques souscrivent aux agents non financiers à savoir les entreprises des titres, qui représentent pour l’entreprise un empreint, lui permettant de pouvoir se financer sur le marché boursier. Ainsi, les banques sont un intermédiaire entre les agents non financiers, elles émettent des titres et grâce à ces titres-là, elles rémunèrent les autres agents lui eyant emprunter d’autres titres.

Les ménages ne souscrivent pas directement des titres aux entreprises sur le marché boursier. En effet, le document 2 nous indique que seulement 10% des français détiennent des actions et que les français détiennent majoritairement des OPCVM (20%). Ainsi, ils ne sont pas actionnaires directs mais indirects, puisqu’eux aussi passent et sont contrôlés par les agents financiers. Ainsi, à mon avis, les ménages n’osent pas s’imposer sur le marché financier de peur des la variation des taux d’intérêt, mais aussi parcequ’ils détiennent une faible exposition sur le marché. Ils vont y déposer des actions en période de retraite ainsi, malgré la durée (à savoir sur le long terme), les actions sont une période des