Les institutions internationales et la population. On retrouve deux caractéristiques entre les institutions et les populations, premièrement elles disent ce qu’elles ne peuvent pas dire et font ce qu’elles ne peuvent pas faire. Les Etats anciennement développé doivent sans cesse développer une nouvelle politique pour garder les emplois etc.
On fait appelle à des médecins étrangers pour combler le manque de médecin de nos campagnes par exemple, mais cela est difficile à dire.
Autre exemple quand l’organisation mondiale de la santé fait des appels pour prendre garde à certaines maladies, on motive l’ensemble de l’industrie du vaccin alors que l’on tente parallèlement de faire des économies.
Les états font vivres des organismes internationaux dont la fonction consiste à….. Il est logique de mettre de la distance avec le développement des populations, puisqu’il n’y a pas de démographique statistique, et pas d’état sans la démographie, on doit faire appel à ceux qui ont la connaissance. Dans ce contexte les organisations internationales sont déterminées par l’influence des Etats, ce qui pèse sur la recherche et les questions auxquelles elles doivent répondre. D’où sortent ces organisme internationaux, comment fonctionnent-ils ? I- Les chemins recoupés des Etats et des statisticiens jusque 1914. 1- L’ère de l’enthousiasme. (Dupâquier) La formation des Etats-Nations passe aussi par une réflexion sur la population. Toute première tentative de faire de la statistique est difficile, cela commence en France après la Révolution Française, le bureau de la statistique ne fut utilisé et l’Empire ne l’utilisa pas.
A partir de 1830, Dupâquier, parle d’air de l’enthousiasme jusque 1849, cet enthousiasme est avant tout celui des chercheurs avec l’enquête Villermé par exemple, mais il y’a aussi la floraison de société savante et philanthropique. 1826, la société française de statistique universelle.
Parallèlement en Belgique, Lambert