les lettres persanes
Lettre 24 : Rica raconte à Ibben ce qu’il a vu à Paris depuis un mois. Il déteste le côté pressé des français. Il critique la société en montrant l’influence du Prince et du Pape. Il ne comprend pas tout mais il sait que ces derniers manipulent les esprits.
Lettre 30 : Il parle de l’extravagance des Parisiens qui ne s’intéressent à lui que parce qu’il est Persan.
Lettre 50 : Rica montre l’impertinence des hommes avec un exemple : cette personne n’arrête pas de se vanter et se dit très modeste.
Lettre 99 : Rica parle du changement perpétuel dans la mode à Paris, tout est conditionné par le roi.
Lettre 37 : Usbek parle du roi de France à Ibben. Il admet que celui-ci contrôle tout mais il en montre aussi les nombreuses contradictions.
Lettre 92 : Le roi de France est mort. Il montre comment le régent a manipulé le peuple pour détourner le testament du feu roi qui ne l’avantagerait pas.
Lettre 138 : Rica parle des impôts et de leurs conséquences sur le peuple.
Lettre 140 : Rica parle des parlements qui vont être relégués dans des petites villes. Il comprend la difficulté des hommes à annoncer de mauvaises nouvelles au prince.
Lettre 46 : Usbek pense que respecter la religion c’est respecter l’homme car aucune religion n’est d’accord avec les autres. Il donne l’exemple de l’homme qui veut honorer Dieu et qui pour se faire décide d’être un bon citoyen et un bon père.
Les deux Persans à Paris
Usbek
C'est le plus âgé des deux (la trentaine ?). Il a deux frères, l'un au gouvernement et l'autre religieux (Santon). C'est lui-même un haut-dignitaire à la Cour d'Ispahan, et son voyage est d'abord une fuite dans le but d'échapper à une disgrâce et à la mort qui en serait l'inévitable sanction.
Parti également chercher la sagesse, on le voit souvent douter des valeurs de sa civilisation. Il est en quête de valeurs universelles, et celles qu'il défend le plus souvent sont la Vertu et la Raison. Politiquement il est de même à