Les liaison dangereuses
|A1 Nous pouvons relever les marques du genre épistolaire. Une lettre |A1 Cécile fait preuve d’une grande inexpérience. |A1 Il nous montre combien leur ignorance est entretenue. Ce passage |
|est un message écrit et envoyé par un expéditeur à un destinataire |I1 Le texte s’achève par une anecdote amusante. Il s’agit de la mise|constitue donc, et le fait était coutumier dans la littérature du |
|(qui sont en général éloignés dans l’espace). Ce genre a des |en scène comique d’un quiproquo. Le style direct donne de la vie aux |18ème siècle, une critique de l’éducation dispensée dans les |
|caractéristiques formelles précises : |personnages. Les phrases exclamatives et les juxtapositions montrent|couvents, lieux propices au développement de la mesquinerie. |
|I1 le nom : Cécile Volanges ; l’adresse de l’expéditeur : « Paris » ;|le désarroi de la jeune fille. Le vocabulaire, d’ailleurs, la réduit |I1 Cécile n’a pas appris au pensionnat les valeurs intellectuelles et|
|la date d’écriture :3aout 17** ; Une formule d’appel ; Le texte |à l’état d’un animal peureux (« effarouchée » ; « cri perçant ») |morales susceptibles de la guider dans l’existence. Nul doute que le |
|(corps de la lettre) ; une formule finale ; la signature ; les |R1 Tout cela révèle son inexpérience et son ignorance des usages les |passage de l’univers clos qu’est le couvent, à la vie mondaine,