Les machines sont elles les ennemis de l'homme
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Dans une politique économique conjoncturelle de rigueur comme celle que nous vivons aujourd’hui, les grands équilibres macro-économiques s’emmêlent. Tout d’abord, la croissance qui est l’évolution de l’activité économique d’un pays évalué par le PIB est très basse. Par ailleurs l’inflation, le taux de chômage et l’équilibre extérieur sont aussi très bas. Ces quatre grands équilibres étant les piliers d’une politique conjoncturelle, d’autres politiques sont mises en œuvre. On trouve la politique de relance qui tente d’apporter plus de revenus aux ménages et plus d’aides aux entreprises, ce qui favorise la production et la consommation, et donc la croissance économique. Mais quand l’Etat a un déficit public de 1818,1 Md d’euros, il est difficile de faire repartir l’économie par une politique de relance ! Il existe donc la politique de rigueur qui consiste à faire moins de dépenses, à accorder moins d’aides aux entreprises ce qui amène à court terme à revenir à la stabilité des prix et à réduire les déficits public et extérieur. On peut se demander à présent si une politique de rigueur peut permettre de maintenir la croissance ? Dans un premier temps, nous traiterons les aspects positifs d’une politique de rigueur puis dans un deuxième temps, les aspects négatifs de cette dernière. PARTIE 1
Tout d’abord, la politique de rigueur vise à renflouer les caisses de l’Etat en dépensant moins et en prélevant plus aux ménages et aux entreprises.
En effet, les impôts sont augmentés auprès des ménages ainsi que les taxes sur l’alimentation comme par exemple la bière et les sodas. Elles sont aussi augmentées sur le prix du tabac, ce qui est censé encourager les fumeurs à arrêter de fumer, réduisant pour eux les risques de maladie, ce qui génère pour l’état une économie sur le budget santé. C’est grâce à ces prélèvements directs et indirects que le déficit public se comble et rééquilibre la croissance économique.
En prélevant d’avantage d’impôts auprès du