Les marginalistes
Economie néo-classique
Auteurs marginalistes, se basent sur le calcul à la marge. Il y a tout d’abord l’école de Cambridge, Lausanne, et Vienne. 2 générations d’écrivains =
Cambridge : 1ère – W.S Jevons ; 2ème – A. Marshall, A.C Pigou
Lausanne : 1ère – Léon Walras ; 2ème – Vilfredo Pareto
Vienne : 1ère – C. Menger, Eugen von Böhm-Bawerk, Fredriech von Wieser ; 2ème – Fredriech von Hayek, Joseph Schumpeter
Après la révolution marginaliste, les années 1940/1960 vont être marquées par les travaux d’un certain nombre d’auteurs très hétérogènes mais qui s’inspirent des travaux des marginalistes qu’on appellera les néo-classiques : sur la micro-économie (Nicks, Arrow, Solow).
Approche dite de l’individualisme // approche holiste, individualisme méthodologique refuse l’approche holiste. Choix fait par des individus, se base sur la rationalité des individus. On peut dire que l’individualisme méthodologique est opposé au holisme car il part de l’individu alors que le holisme part d’une société donnée pour voir comment s’insert les décisions individuelles. On attribut au individus un nombre de caractéristiques et des objectifs déterminés (consommation, …). Certains ont reproché à l’IM sa principale faiblesse qui est le fait que le postulat de cet individu isolé interdit de relier comportement individuel et référence à la société. Le reproche qui est fait à l’IM aussi, est de manquer la compréhension des décisions même les plus rationnelles et libre qui ne sont pas dans le contexte social. La forme d’organisation sociale est l’impensé. Les individus ne sont pas désincarnés. Puis dans des contraintes de l’action sociale dans lesquelles s’insert les individus pour agir. Il n’y a pas 2 méthodologies absolument dissociées mais une imbrication des 2. Il y a une complexité des relations inter-individuelles, que la plupart des économistes ont dépassé l’opposition simplistes ou radicale entre IM/holisme M. Il n’en demeure pas moins que les