Les masai
La mort d'un mari n'implique la liberté de la veuve. Elle reste liée à sa famille. Après la fin de la fête de deuil, la femme retourne dans sa famille. Il est permit que la femme ait des relations avec un nouvel amant et même lui faire de nouvelles propositions de mariage. Les femmes d'un homme polygame décédé ne reviennent pas à son frère. Il n'hérite que du titre de la valeur dotale*. Mais il peut quand même prendre pour femme les plus jeunes épouses de son frère décédé.
La vie conjugale
La virilocalité* est la règle générale. Cela veut dire que les hommes continuent à habiter leur village, tandis que les femmes le rejoignent qu'après leur mariage. Ils n'ont des relations qu'en pleine nuit,jamais pendant le jour car ils ont des superstitions qui font qu'ils pensent qu'ils vont avoir une maladie. Mais on connaît un remède magique qui permet de soigner cette maladie et donc de casser cette superstition.
La polygamie
La plupart des ménages sont monogames, étant donné que les hommes ne peuvent pas toujours se permettre d'avoir plusieurs femmes car, souvent, ils sont très pauvres. Ceci-dit, beaucoup de Masaïs aimeraient avoir plusieurs femmes car ça leur donne du prestige.
Contrairement à chez nous, les Masaïs trouvent normal qu'un prêtre catholique se marie et ait des enfants. Le célibat est considéré comme un état sans grande valeur.
Un homme ayant plus de dix femmes ou plus est assez rare. Si on se marie avec sa première ou sa septième femme, on fera une cérémonie aussi importante pour l'une que pour l'autre. Chacune à leur tour, les femmes vont s'occuper de la cuisine, de préparer le bain et de faire attention à la toilette de son époux.
Le mari doit faire attention à la bonne répartition entre les femmes quand il achète de nouveaux vêtements, de la nourriture,...
La première femme s'occupe de faire régner l'ordre mais, autrefois, elle avait son mot à dire quand son mari choisissait une nouvelle épouse mais