Les membranes superhydrophobes
Introduction
I. BIBLIOGRAPHIE………………………………………………………..…………………5 1. NOTION DE MOUILLABILITE……………………………………………………………………………….…5
1. a. Interface et mouillabilité
1. b. Notion de superhydrophobie
1. c. Modèles physiques
2. DISTILLATION MEMBRANAIRE………………………………………………………………………….....7
3. NANOTUBES DE CARBONES……………………………………………………………………………………8 3. a. Structure 3. b. Mécanisme de croissance
II. MATERIELS ET METHODES….......................................................10
1. PREPARATION DES CATALYSEURS ET IMPREGNATION DES SUBSTRATS……….……10
2. CROISSANCE PAR CVD………………………………………………………………………………………10
III.RESULTATS………………………………………………………………………………11
IV. DISCUSSIONS………………………………………………………………………….13
CONCLUSION……………………………………………………………………………….15
ANNEXES………………………………………………..……………………………………16
BIBLIOGRAPHIE……………………………………………………………………………20
INTRODUCTION
Devant l’amoindrissement des ressources en eau potable, les techniques de désalinisation d’eau de mer se révèlent être des alternatives qui nécessitent d’être développées.
La technique la plus utilisée aujourd’hui est l’osmose inverse, méthode membranaire qui permet d’arrêter tous les solutés contenus dans l’eau, laissant passer le solvant.
La distillation membranaire est une technique en cours de développement qui repose sur l’utilisation de membranes superhydrophobes laissant passer l’eau pure sous forme vapeur, les impuretés restent alors piégées dans l’eau liquide en amont de la membrane. Une des préoccupations clés de cette technique est l’élaboration d’une membrane adaptée, c'est-à-dire possédant notamment le caractère superhydrophobe.
Un des axes de recherche est le développement de membranes minérales fonctionnalisées pour obtenir cette propriété de superhydrophobie. Les nanotubes de carbone (NTC), observés pour la première fois il y a une vingtaine d’année, peuvent conférer aux membranes cette propriété là.
L a croissance de ces derniers est