Les méthodes d’oppression dans 1984 1984 est un livre de George Orwell qui raconte l’histoire d’un personnage, Winston Smith. L’histoire se passe en 1984 dans un monde divisé en trois régions : l’Océania, l’Estasia et l’Eurasia. L’Océania, où se déroule l’histoire est dirigé par l’Angsoc, régime politique socialiste totalitaire, qui cherche à anéantir toute forme de liberté et de plaisir. Pour y parvenir, le parti utilise différentes méthodes d’oppression, qui peuvent se diviser en 2 parties : anéantir l’opposition et limiter l’esprit humain. Dans la première, on retrouve entre autre la surveillance permanente, l’oppression sexuelle et l’amour de la guerre, et pour la deuxième il y a la novlangue, l’embrigadement de la jeunesse ainsi que le révisionnisme de l’histoire. On retrouve ici les points qui vont être analysés ci-dessous et comparés avec le monde d’aujourd’hui. La surveillance permanente des personnes se fait par la police de la pensée, principalement à travers les télécrans, ainsi que les enfants-espions. La police de la pensée surveille tout le monde et condamne le crime par la pensée. Il suffit que quelqu’un n’aie pas les bonnes opinions pour qu’il se fasse enlever la nuit par la police de la pensée et qu’il disparaisse totalement. Les télécrans sont une sorte de vidéosurveillance qui transmettent constamment des images du parti, mais surtout surveillent tout le monde, car ils sont situés quasiment partout. Quant aux enfants espions, c’est l’embrigadement des jeunes enfants, qui peuvent espionner leurs voisins, ou même leurs propres parents. Ces enfants sont donc encouragés à dénoncer tout ce qu’ils voient d’interdit. Dans le livre, on retrouve un bel exemple, lorsque Parsons s’est fait arrêté car sa fille l’a dénoncé pour avoir dit « à mort Big Brother » pendant qu’il dormait. Il en est même fier, car cela prouve qu’elle a bien été élevée. On comprend donc grâce à ces explications un des trois slogans du parti : « La liberté, c’est