Remerciements :

A travers ce travail, j’adresse mes remerciements à M. El Mustafa ESSABRI, mon professeur encadrant, qui a eu l’amabilité et l’affabilité de m’encadrer tout au long ce semestre durant lequel j’ai pu profiter de ses précieux conseils et de son expérience dans le domaine de finance.

C’est aussi grâce à lui que j’ai tiré autant de satisfaction dans ce travail.

Enfin, je remercie toute personne ayant contribué, de prés ou de loin à l’élaboration de ce modeste travail.

Introduction générale :

L’ouverture des marchés de capitaux et la libre circulation des investissements que le monde a connus au cours de ces dernières décennies ont été à l’origine de la grande révolution du rôle de l’information financière. Les intervenants sur les marchés de capitaux, qu’ils soient investisseurs, bailleurs de fonds ou analystes financiers s’intéressent à toutes les possibilités de rentabiliser les capitaux dans un marché international. La prise de décision d’investir devient dès lors de plus en plus complexe suite au nouveaux choix et paramètres qui rentrent en jeu. De ce fait, l’information financière doit non seulement être fiable et fidèle mais doit aussi représenter un langage universel. Ce vaste mouvement s’est traduit par l’adoption d’un ensemble de normes comptables internationales dénommées IAS/IFRS[1]. Sans oublier que la mondialisation a joué un rôle important pour l’accélération du processus de l’adoption. Les normes IAS/IFRS sont élaborées par l’IASB[2] (International Accounting Standards Board) crée en 1973 par les instituts comptables de 10 pays. Ces normes établissent des règles communes de tenue, de collecte, d’établissement et de présentation des états financiers tant individuels que consolidés des entités, des entreprises et des organisations soumises à la tenue d’une comptabilité, dans le but de : • Donner une image fidèle sur la situation financière, sa performance et sa variation face aux