Les obsèques de la lionne, analyse
La fable est composé d’octosyllabes et d’alexandrins
Les quatre derniers vers constituent la morale v 17 à 23 : semblant de morale, intervention direct de la Fontaine avec « je ». Il prend la parole pour exprimer son point de vue sur la cour, plus précisément sur les courtisans, qualifiés de « caméléons » : animalisation, ils sont se que le roi veut qu’ils soient. Ces courtisans sont aussi « singes du maître » il l’imite, « un seul esprit anime » : l’esprit du roi, « simple ressort » : ordre de la mécanique. Tout cela pour dire qu’ils vont dans le même sens que le roi.
Cible de la Fontaine : les courtisans, la justice arbitraire du roi (comparé à Caligula) v 1 : diérèse, périphrase pour désigner la Lionnes v 4et5 : diérèse : « consolation », « affliction » répétition de « lion », v3 : « le monarque » v 1à10 : situation initiale, champs lexical de la peine, de la désolation v 12-13 : souffrance du lion v 15 : imitation du roi v 16 animalisation des courtisans v 18 : oxymore : triste-gais chiasme : prêts à tout, à tout indifférents
->contradiction de l’attitude des courtisans v 19et20 : verbes importants : être et parêtre : faute d’orthographe volontaire -> effet d’insistance v 21 : Caméléon khamai -> à terre leôn -> le lion
Singer = imiter v 23 : « simples ressorts » pantins, marionnettes v 24 : On revient à la fable v 25 : le cerf incarne la liberté v 25-58 : répétition de la volonté du cerf de ne pas s’inclure dans l’imitation du roi
Salomon : connu pour sa sagesse et sa justice, alors que le roi incarne la justice arbitraire -> opposi0 v 33 : discourt direct du roi
« chétif » : le roi se pense supérieur au cerf. Eloquence du roi qui manifeste sa grandeur. Sonorités en « oi » v 34 : rire et gémissant : antithèse, opposition v 35-36 : « sacré », «