Les peco
ère
ES4 – éléments de correction EED
L’Union européenne, future définition de l’Europe ?
Questions L’élargissement de 2004 pays d’Europe de l’Est + Malte et Chypre. Après 1989 + chute du mur de Berlin, émancipation de la tutelle soviétique (« née de la chute du communisme » doc2) on se tourne vers l’ancien ennemi, les Etats-Unis puisque tous ces pays sont désormais membres de l’OTAN (doc1). Processus de démocratisation + retour à l’économie de marché satisfaire aux conditions d’entrée dans l’UE. « Relative euphorie » aussi car ces pays ont globalement un PIB < moyenne européenne possible Euphorie à nuancer pour certains malgré tout (entre « inquiétude » et « mauvaise humeur » doc2) car entrée en 2007 de la Roumanie et de la Bulgarie, (≠ critères d’entrée dans l’UE), se fait sans enthousiasme de la part des 25. bloque peut être pour de nombreuses années les candidatures des Etats des Balkans, dont la Croatie (cf dernier paragraphe doc2). L’intégration à l’UE a été et reste désirée par de nombreux pays européens. En effet, le doc1 montre bien l’étendue que prend l’UE désormais élargissement des potentialités économiques, des marchés. Pays attendent aussi, (cf niveau de richesse global de l’UE, PIB/hab doc1) une croissance soutenue, car avantages comparatifs à leur faveur (ex prix de la main d’œuvre). Pays membres espèrent un débouché vers des pays à croissance soutenue avant leur adhésion. cf doc3, pays baltes avaient une forte croissance, > 6% (phase de pré-adhésion). Aucun des nouveaux entrants < 3%, (sauf Malte) Cependant, l’entrée dans l’UE n’est pas une garantie de poursuite de la croissance économiqueIrlande = croissance de 6.1% entre 2000 et 2004 mais Portugal = 1.2%. Une croissance soutenue n’est pas non plus garante d’un rattrapage des économies les plus avancées, si le décalage est trop important 1.2% de croissance en Allemagne impliquent un niveau de production supérieur à celui d’un pays comme la Bulgarie avec pourtant