Ecole le rôle de l'école chez les petits moyens est important, car c'est ce qui peux leur permettre d'espérer atteindre un meilleur niveau de vie, de se hisser à la portée des couches supérieure. En effet les « petits moyens » ont acquis une certaine connaissance du système scolaire, des cursus « à suivre » ou « à ne pas suivre » ou encore des établissements « bons » ou « à problèmes » ce qui leur permet d'établir de réelles stratégies scolaires. Mais leur volonté est surtout de se préserver d'un avenir précaire dans une société ou l'accès à un emploi stable est de plus en plus difficile. On a la une attitude sécuritaire que l'on retrouve dans la notion d'entre soi protecteur qui caractérise les « petits moyens ». L'angoisse de la chute sociale se manifeste donc aussi dans la scolarité des jeunes « petits moyens » et cela entraine souvent des réactions excessive comme le refus d'intégrer des établissements majoritairement fréquenté par des populations relègues. On est encore une fois face au rejet des classes inférieures. D'après les entretiens qu'on eu les auteurs de « la France des petits moyens », les parents se servent de l'école pour écarter leur enfants des classes populaires. En outre le système de carte scolaire leur est avantageux dans le sens ou les établissements considérés comme « bons », souvent situés dans les quartier assez aisés, ne sont accessibles qu'on enfants du quartier. Les parents fond parfois pression sur les établissements pour qu'il refusent toutes dérogations qui permettrait aux enfants des quartier relègues de s'inscrire dans ces écoles. L'école est donc à la fois un tremplin social mais aussi un moyen d'exclure d'avantage les populations relégués.

Espaces public le comportement des « petits moyens » par rapport aux espaces public est caractéristique de l'entre soi protecteur. En effet les quartier pavillonnaires deviennent des espaces défendus au même titre que les espaces privés. Des stratégies de protection se mettent en place