« Les plus désespérés sont les chants les plus beaux. et j’en sais d’immortels qui sont de purs sanglots »,

397 mots 2 pages
Simon Luttichuys
Vanité, 1667
Huile sur toile, 52,5 x 59 cm
Leyde, Stedelijk Museum de Lakenhal

Sur cette peinture, Nous pouvons observer un crâne entouré : - D’un violon, cet instrument dont l’appareil se décline en âme, ouïes, chevilles, jambes, cœur, estomac … .De plus, sa sonorité se rapproche le plus de la voix humaine. Dans le bois qui constitue le violon se cacherait-il un être vivant ? Le violon serrait-il un pont entre le monde d’ici-bas et l’autre monde ? -D’un livre, celui-ci pourrait faire allusion au livre des morts. Etant un recueil de formules magiques et d’incantations présent dans l’Egypte antique. Il était placé près de la momie, dans son cercueil et permettait au défunt de pouvoir passer les épreuves qui mènent aux champs l’Ialou d’Osiris (pour pouvoir ressusciter dans l’au-delà). Cela pourrait-il faire allusion à une vie après la mort ? -D’un sablier qui évoque la brièveté de la vie.

Jan Davidsz De Heem
1628.
Huile sur toile.

Sur cette peinture, nous pouvons observer : -Un crâne, posé sur une table. Celui-ci se trouve sur un amas de livres et nous avons comme l’impression qu’il tient entre ses dents un de ces livres.
Cela pourrait s’interpréter par « les paroles s’envolent et les écrits restent. ». Les livres serraient donc les seules traces qui restent de la vie d’un homme. -Ensuite, on observe comme un rayon de soleil qui arrive sur le crâne et celui-ci est tourné vers ce rayon. La lumière est le symbole de la vie. Le crâne étant tourné dans sa direction, pourrait-on penser à une autre vie après la mort ?

Madeleine De Boullongne

Sur cette peinture, nous pouvons observer : -Un crâne posé sur des livres qui représentent les seules traces restantes de

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