Les principes de la finance islamiques
1-interdiction de l’usure (riba) : toute formes d’intérêt qui est considéré comme un surplus monétaire, un surplus d’argent c’est un principe qui se situe dans les grandes religions
2- interdiction de tout ce qui est spéculation et alea pour éviter tout phénomène de dérive tel qu’on a connu aujourd’hui ; Les aléas : c’est la certitude dans les contrats, certitude dans les relations d’affaires entre les différentes acteurs ce qui permet clairement de stipuler un certaine nombre de chose : le prix de façons a ce qu’on soit sur les bases sur lesquelles on fait les transaction notamment les services financier qu’est fondamentale.
3-principe fort d’adossement des actifs par rapport aux transaction : l’objet des contrats de finance islamique sont des objets qualitatifs quantitatif basé sur des biens réels et non pas sur des contrats forwod ou swap ou sur une masse monétaire en plus qui n’est pas connu
4- principe fort des pertes et des profits qui fait qu’il y a un vrai engagement entre les deux parties. il y a pas toujours un gagnant et un perdant , emprunteur et prêteur mais il y a bien différentes partie qui s’engagent ensemble e ce que a faire la transactions ensemble .au lieu d’être en relation créancier / débiteur .on est plutôt dans une relation commercial acheteur et vendeur par ce que la banque même s’il fait le métier de financier il participe à la transaction dans le sens ou souvent elle achète le bien pour le revendre a ses clients qui fais qu’il y a vraiment un passage de l’actifs et qui supprime un certaine nombre d’alea .
5-principe d’égalité de justice : c’est une économie qui se veut être au service de l’homme et non pas pour une catégorie d’homme c’est vraiment la justice social c’est bénéficier avant tout l’ensemble des acteurs sur le marché. Le sens premier de l’économie doit être une science qui permet de repartir la richesse et éradiqué la pauvreté