Les professionnels du rire
Dans beaucoup d’entreprises il y a des clients qui n’arrivent pas à payer leurs fournisseurs.
Les fournisseurs sont obligés de passés leurs créances clients en dépréciation.
Nous allons voir pourquoi et comment traite-on une dépréciation. Et qu’elles en sont les incidences. Une dépréciation est la diminution de la valeur d’un élément de l’actif durant sa durée de vie qui peut-être constatée par la constitution de provision. Les provisions pour dépréciation peuvent-être constituées pour différents éléments de l’actif de l’entreprise : ici nous parlerons des clients. Et montre une constatation d’une moins-value probable.
L’entreprise constate à l’inventaire que certains clients n’ont pas réglé leur dette à l’échéance prévue, même après plusieurs rappels. Leur situation permet de penser qu’il y a un risque partiel de non recouvrement qui est apparu. Ce qui correspond pour l’entreprise à une dépréciation non définitive de ses créances. Il est donc prudent de passer ses clients en clients douteux au montant toutes taxes comprises alors on va débiter le compte « 416 clients douteux » et on va créditer le compte « 411 client ». Le montant de la dépréciation est égal au montant de la perte probable, elle se calcule toujours sur le montant hors taxes de la créance. La dépréciation s’exprime en principe en pourcentage du montant de la créance douteuse. Cette dépréciation représente une charge non décaissable enregistrée au débit du compte « 6817 dotations aux dépréciations des actifs circulants » et un amoindrissement de la valeur porté au crédit du compte « 491 dépréciation des comptes clients ».Par la suite on va faire un ajustement des anciens clients douteux pour voir si leur situation a évaluer ou pas on va donc calculer la nouvelle dépréciation sur le solde hors taxes de la créance et ensuite on la compare a l’ancienne