Les québecois sont-ils de bon dragueurs?
Transition
601-HJD-04
LA DRAGUE AU QUÉBEC
La mort de la drague au québec, à qui la faute?
Travail présenté à
M Stéphane Boivin
Département de Français
Cegep de Trois-Rivières
Le 7 Avril 2011
La drague au Québec La drague est le jeu des passions, de la séduction et de l’amour. Un jeu plaisant certains diront, et pourtant, les Québecois ne semblent point en accords avec cette affirmation. En effet, selon le livre de Jean-Sébastien Marsan et Emanuelle Grill les hommes ne veulent plus draguer ni séduire. À qui devons nous imputer la faute? À l’homme qui n’a plus la fougue d’autrefois? Ou à la femme devenue trop intimidante? Le texte suivant tentera de répondre à cette affirmation et d’effacer tous questionnements troublant notre résonnement.
La super femme Pour comprendre l’évolution de la drague, il est important de comprendre l’évolution du statut de la femme au Québec. À l’aube du XXième siècle, la femme ne jouait qu’un seul et unique rôle, celui de femme au foyer qui servait de nourrice à l’enfant du male dominant. Celle-ci était soumise à l’autorité de la religion catholique la privant de son autonomie, la relayant dans une sous-couche de la société. Ce n’est quand 1940, alors que la femme gagne le droit de vote, que celle-ci devient une citoyenne à part entière. Par la suite, vint une panoplie de gain de pouvoir qui poussa la femme à une quasi égalité avec l’homme dans la société Québécoise d’aujourd’hui. Maintenant, comment interpréter cette histoire face aux difficultés de la drague au Québec. Je crois personnellement que les femmes sont devenues de super femme. Ma thèse s’explique ainsi : la femme d’aujourd’hui tente d’en faire trop pour prouver qu’elle est socialement égale à l’homme (ce qu’elle n’a point besoin de prouver selon moi; c’est un fait). Premièrement, j’ai de vieux compte à régler avec Walt Disney. Il faut comprendre que tout ces films à la noix induit les femmes dans l’erreur, l’homme moderne n’est