Les rêveries du promeneur solitaire
Table des matièresTable des matières
I. Biographie 2
II. Les Rêveries du promeneur solitaire : analyse de l'oeuvre 5
A. Présentation Générale de l’œuvre 5
B. Présentation et analyse de chaque promenade 5
Première promenade 5
Deuxième promenade 7
Troisième promenade 8
Quatrième promenade8
Cinquième promenade9
Sixième promenade 10
Septième promenade11
Huitième promenade11
Neuvième promenade11
Dixième promenade12
I. Biographie Jean-Jacques Rousseau voit le jour le 28 juin 1712 à Genève en Suisse dans une famille calviniste. Il est le fils d'Isaac Rousseau et de Susanne Bernard. 7 jours après sa naissance, sa mère décède des suites de l'accouchement. Dans Confession,I[1] , Rousseau déclare : « Je coûtai la vie à ma mère et ma naissance fût le premier de mes malheurs ». C'est donc auprès de son père que Rousseau évolue . Il apprend à lire dans des livres qui le passionnent et son père et lui passent des nuits entières à les parcourir.
Le 11 Octobre 1722, à la suite d'une bagarre, son père quitte Genève et se réfugie à Nyon. Jean-Jacques est confié à son oncle Bernard qui le place en pension chez le pasteur Lambercier. Il y est scolarisé et déclarera plus tard dans Confession, I : « Nous[2] fûmes mis en pension chez le ministre Lambercier, pour y apprendre, avec le latin, tout le menus fatras dont on l'accompagne sous le nom d'éducation ». En 1724, Rousseau est pris comme apprenti chez un greffier, métier qui ne lui plaît pas. Il devient alors apprenti chez un graveur, Abel Ducommun. Mais Rousseau ne s'y plaît pas plus et c'est le 14 Mars 1728 qu'il quitte l'atelier et la Suisse en direction de la France. Il est recueilli par le curé de Confignon, Monsieur de Pontverre, qui l'initie au catholicisme.
Le 21 Mars 1728, Rousseau rencontre Madame de Warens[3] à Annecy. Il l'appellera maman alors qu'elle n'a que 6 ans de plus que lui. Elle l'envoie à l'hospice des