Les regrets de joachim du bellay
1ere quatrain : Ver 1 : « Devaulx », ver 9 : « Devaulx », il interpelle son ami.
Situation d’énonciation du poète. Celui qui parle l’énonciateur du Bellay. Il parle de Paris qui devient l’objet poétique.
Les circonstances : loin de son pays, touché par la nostalgie, il écrit ce sonnet. Registre lyrique. Forme poétique = sonnet. XVIeme siècle.
Comparaison : ver 2 : « grand mer » (comparant) et ver 3 « Paris sans paire » (comparé).
Mot répété trois fois : « tous, tout, toute » fait référence à la grandeur.
2eme quatrain : Eloge de la ville de Paris
Ver 1 : Métaphore : « Paris est en savoir une Grèce féconde »
Ver 2 : Comparaison : « Une Rome grandeur Paris on peut nommer »
Ver 3 : Comparaison : « Une Asie en richesse on le peut estimer »
Ver 4 : Métaphore : « En rares nouveautés une Afrique seconde »
1er tercet : « Bref » langage parlé, le bref est isolé par une virgule.
Termes de l’éloge : « grande cité », « émerveiller », « prit ébahissement »… À la fin du poème il a un œil critique.
Présentation : Poète de la pléiade. Dans son recueil intitulé Les regrets, il rassemble une série de poèmes qui donne à voir les images de la ville de Paris, un lyrisme particulier. Le poète est à la fois un témoin de la vie urbaine du XVIeme siècle, et chantre de la beauté.
Introduction : Sonnet du XVIeme siècle, siècle de la renaissance, qui évoque Paris sous son vrai visage.
1.Poème épidictique allie les procédés de l’éloge et les procédés du blâme.
- L’éloge :
L’éloge de la ville s’étale sur les 2 quatrains, du premier tercet et va jusqu’à « ébahissement ». L’auteur a choisi des alexandrins, son discours poétique s’étale bien, il a tout l’espace qu’il convient pour parler de Paris avec les termes suivants « tous les fleuves du monde, le grand mer, la Grèce, l’Asie, et l’Afrique » Porte une constatation d’immensité, d’infini. Dans le premier quatrain la ville est comparée à