Les sels de voirie
Monsieur,
Jai le regret de vous annoncer que la faune et la flore sont de plus en plus souffrante du à la hausse incessante de sel dans la nature. La majeure partie du problème est due à l’utilisation inadéquate et excessive des sels de voirie. De ce fait, plusieurs articles scientifiques démontrent cette problématique. Le but de cette lettre est de vous conscientiser sur les impacts environnementaux et de vous suggérer des pratiques exemplaires.
Le climat hivernal canadien nous oblige à utiliser des moyens de déglaçage des routes. Les principaux fondants routiers utilisés sont le chlorure de sodium (nacl), le chlorure de calcium (cacl2) et le chlorure de magnésium (mgcl2). Le chlorure de sodium (nacl) est le plus utilise et aussi le moins toxique des trois. Cependant, du aux fluctuations de températures courante, il ne peut pas toujours être utilisé car il n’est efficace qu’entre 0 et -15 Celsius tandis que le chlorure de calcium (cacl2) est efficace jusqu’a -23 Celsius. Ces sels de voirie se retrouvent dans l’environnement par les pertes aux sites entreposages de sels et aux sites d’élimination de la neige, et par l’écoulement des eaux de ruissèlement et les éclaboussures des routes. Les impacts qu’ils ont sur la nature sont très néfastes. En effet au printemps, l'eau de fonte chargée de sel se retrouve dans nos bassins versant et leur concentration de chlorure en ppm augmente considérablement. Les ruisseaux et les rivières ne sont contaminés que pour de courte durée puisque leur eau est constamment renouvelée. Pour ce qui est des lacs la salinité de l’eau est en constante augmentation puisque ceux-ci stockent leur eau pour une longue période. En arrivant dans les lacs d’eau peu profonde, l’eau salé à tendance à couler au fond puisqu’elle à une masse volumique plus grande que celle de l’eau douce. Quand la salinité de l’eau deviendra trop forte, la couche d’eau salé risque de ne plus se mélanger avec les couches supérieurs ce