Les sens ne sont-ils pas necessaire pour nous forunir toutes nos connaissances
Nous avons acquis nos sens dés la naissance, dans le but de nous ouvrir au monde avant même de l’avoir exploré. Ces sens nous permettent d’éprouver des sensations d’un certain ordre et en conséquence de percevoir les réalités matérielles. On peut aller au devant des ces réalités qui caractérisent le monde sans même avoir à nous déplacer, ou même à enquêter sur le monde qui nous entoure, mais bien à l’éprouver, à le sentir, à le voir, à l’écouter, à le gouter et le laisser nous inculquer les connaissances qu’il possède ; mais les sens sont-ils seuls à nous fournir nos connaissances ? Ou bien y a-t-il d’autres procédés qui amènent à une opération discursive de la pensée, à un calcul, à une tradition. La faculté que l’homme à de connaître et de juger ne vient pas des sens, la faculté qu’il a de découvrir des relations de causalité, d’identité ne vient pas des sens, sa faculté de concevoir et de comprendre ne vient pas de ses sens mais d’un travail approfondi de son moi intérieur et avec l’expérience qu’il acquiert tout au long de sa vie. Notre capacité à réfléchir, à apprendre et à acquérir notre expérience et en outre nos connaissances viennent aussi d’une autre fonction.
Il faut donc approfondir sur le sujet et voir quelles connaissances peuvent nous apporter nos sens, et quelles sont les connaissances qui sont apporté d’une autre manière en mettant en œuvre nos fonctions intellectuelles et rationnelles que nous avons acquises par expérience.
La culture, l’éducation, l’enseignement et même la conversation nous permettent de « connaître » plus rapidement qu’une personne qui en fait l’expérience, libre à nous de choisir si on veut le vivre ou le garder en nous pour ainsi en informer un autre, qui en prendra connaissance, qui le vivra ou non et qui en informera un autre à son tour. Le récit, les discours, les photographies, les films sont un rapport direct avec la réalité, les