INTRODUCTION

Dans le cadre de l’Unité d’Enseignement 4, de la sous Unité d’Enseignement 4.2, relevant de la Compétence 6, un travail de réflexion nous a été demandé. Ce travail tient compte d’une situation vécue lors de notre dernier stage. Aux semestres 1 et 3, ce même travail nous a été demandé et d’années en années notre analyse se doit d’être plus approfondit.
La situation que j’ai choisi de retenir, celle qui m’a interpellé plus que d’autre à l’égard de ce travail, est une situation relationnelle que je n’ai jamais eu l’idée de traiter auparavant. Peut être par rapport au fait que je n’avais pas suffisamment de maturité pour l’approfondir ou de connaissances tout simplement. Mais, l’ayant rencontré à ce dernier stage, je l’ai perçu d’un nouvel œil et il m’a parut beaucoup plus pertinent d’exploiter celle-ci plutôt qu’une autre. Dans cette situation, l’élément primordial à prendre en considération est l’état de santé du patient, entre le conscient et l’inconscient, qui nécessite une prise en charge et un rapport relationnel complètement différent de celui que l’on aurait avec un patient en parfait état de conscience. De plus, le positionnement des soignants autour de celle-ci m’a poussé à me remettre totalement en question.
Le service dans lequel j’ai effectué ce stage est un hôpital de semaine de médecine interne composé de 15 lits (dont 5 lits individuels). Les patients y hébergeaient donc du lundi au vendredi maximum. Il est arrivé que certains soient transféré en service de médecine interne le week-end et reviennent le lundi pour permettre au médecin de continuer ses examens. La plupart des patients était hospitalisé pour le suivi de maladie auto immune, une batterie d’examens destinée à déceler une pathologie jusqu’alors potentielle, un hébergement d’un autre service (service de dermatologie le plus souvent), la stabilisation de l’état de santé. Ont été effectués en majorité des scanners, IRM, radiographies, tests de marche, biopsies, ponctions