Les taxes et les impôts sous l’Ancien Régime
Le roi de France, qui est souverain absolu et de droit divin, a le droit légitime de s’enrichir avec les ressources existants dans son domaine royal. Les conflits persistants entre le roi de France et le roi d'Angleterre, amena la création des impôts royaux payés par tous les sujets du royaume, avec des exemptions pour le clergé (qui priait pour le succès de l’armée du roi), la noblesse (qui payait l'impôt du sang) mais aussi de nombreuses régions, villes ou professions privilégiés. Ces ressources n’étant pas suffisantes au roi, des prélèvements fiscaux et des impositions étaient nécessaires pour accumuler un revenu. Mis en place à partir du Moyen Age, les impôts royaux sont créés sur la base d’un impôt seigneurial et ecclésiastique. Cependant, ce système se complique et s’organise dès le XVème siècle, pour prendre de toutes autres caractéristiques au XVIIème siècle, sous l’Ancien Régime, et attribue à la Monarchie française une puissance dominant sur L’Europe, malgré à des voisins qui ne tiennent pas encore ces mêmes ressources qu’à France.
Toutefois, l’impôt royal sera par la suite l’objet de vives critiques qui mèneront à son restructuration. Nous pouvons alors assurer que le système fiscal amène davantage à un désordre plutôt qu’un ordre social, et à une séparation plutôt qu’une union. Ce système permet d’organiser rationnellement et efficacement le royaume, mais il expose la structure inégalitaire du royaume, et finalement, contre des reformes entreprises, va produire une crise qui conduira a sa propre implosion. Tout d’abord, nous allons parler de la nécessitée grandissante d’une fiscalité organisé, cet-à-dire un système structuré et préparé. Si les revenus ordinaires étant insuffisants, la monarchie avait le droit de faire des prélèvements réguliers au peuple. Quand le système commence à se compliquer, il s’adapte à différentes personnes qui contribuent aux revenus. Donc, les hommes du pouvoir ont créé des