Les thons rouges svt
L’organisation a rédigé et adopté la Convention Internationale pour la Conservation des Thonidés de l’Atlantique, signée à Rio, en 1966. Elle à été officiellement appliquée en 1969.
Malgré le contrôle et la régulation mise en place par l’ICCAT, les deux stocks du Nord et de l’ouest sont malgré les mesures prise par l’ICCAT dans une situation préoccupante. La situation du stock de l’Ouest laisse redouter le pire pour le stock Méditerranéen si des mesures plus restrictives ne sont pas prises.
Nous voyons bien que l'Homme joue un rôle majeur sur cette biodiversité en utilisant le thon rouge comme industrialisation l’Homme menace toute la l’équilibre écologique car il faut 15 kilos de poisson sauvage pour nourrir un thon de 1 kilo. Mais aussi la chaîne alimentaire car les prédateurs de thons sont eux aussi mis en danger car ils n'ont plus à manger. Dérives et impacts sur la biodiversité
Cette industrie du thon a de nombreuses conséquences. Outre les dérives politiques (corruption de contrôleurs, de pêcheurs locaux…) et les impacts économiques (compétition inégale entre les bateaux, bénéfices entre les mains des éleveurs et des pêcheurs industriels…), cette activité pose des problèmes écologiques parallèles à l’épuisement de la population de thons rouges en Méditerranée.
D’importantes quantités de poissons fourrage sont nécessaires à l’engraissement, la plupart en provenance d’Afrique du Nord, de l’Atlantique Nord ou d’Amérique. Ceci pose des problèmes environnementaux, comme les contaminations. De nombreuses populations de sardines et d’anchois locaux sont menacées par l’introduction de cette nourriture. Certains pays déclarent utiliser des espèces de poissons locaux, ce