Les vélos
Nous sommes dans une société évolué et qui a su se développer au fil du temps. De nombreuses technologies prouvent que le génie humain a su mettre en pratique ses acquis en matière de mécanique. L’une de ces grandes inventions est une innovation qui nous paraît bien banale et que l’on utilise beaucoup comme moyen de transport : le vélo.
Contrairement à ce que peuvent nous faire paraître les apparences, le vélo est constitué d’un enchaînement de mécanisme complexe. Tout commence lorsque le cycliste appuie sur l’une des pédales avec son pied, appliquant une force de compression. Son énergie musculaire est alors transmis au système du vélo où elle sera transformé en énergie mécanique pour toute la durée du processus mécanique. Les pédales agissent alors comme des leviers, afin d’amplifier la force existante en pivotant autour d’un point d’appui. Elles ont pour fonction de guider en un mouvement de rotation une grande roue surnommée le plateau. Cette dernière est dentée et permet de faire défiler une chaîne composée de trou. Celle-ci subit un mouvement de guidage en translation qui lui permet, à son tour, de guider une autre roue dentée, au niveau de la roue arrière, en un mouvement de rotation. Cette dernière composante permet, dans une description simple du vélo, de guider la roue en un mouvement de rotation, ce qui permettra enfin à tout le vélo d’être guidé en translation. Plusieurs interrogations persistent : comment se fait-il que la roue continue de tourner lorsque l’on arrête de pédaler, que lorsque l’on pédale dans le sens inverse, la roue n’est pas entrainée, et que lorsque l’on fait avancer le vélo en marchant à côté, les pédales ne tournent pas alors qu’elles tournent quand on recule ? Cela s’appelle le principe de la roue libre. Au milieu de la roue dentée arrière, se trouve un moyeu qui est la composante réellement annexée à la roue arrière. Le moyeu possède un index, qui est un petit objet en forme de plan incliné, qui peut se loger