Les Animaux chez Jean de la Fontaine et Charles Perrault: Une analyse de leurs utilisationsLittérature Française: XVIIe Siècle Le lion est assis au sommet de la chaîne alimentaire. À cause de sa il est orgueilleux. Le renard aime s'amuser malicieusement, il n'est pas tout à fait un chien mais il n'est pas non plus un loup. Ces déclarations peuvent sembler évident, mais sont-ils ? Ces idées ont une longue histoire, en fait la personnification des animaux a une longue histoire. Les écrivains de l'Antiquité avaient l'habitude d'associer …afficher plus de contenu…

Chaque animal a plus ou moins le même caractère tout au long des histoires. Même face aux problèmes, les personnages animaux semblent être attachés à leurs désirs. Je crois que c'est le cas à cause du point que Jean essayait d'illustrer. Les animaux, bien que beaucoup soient intelligents, ne sont pas des humains, ils ont une nature animale, la pensée qu'ils donnent aux actions est alimentée par ces désirs, même à leur détriment. Il n'y a pas non plus de tribunaux d'éthique chez les animaux. Jean a voulu utiliser cette juxtaposition en combinaison avec l'anthropomorphisme animal afin de montrer que le comportement humain n'est pas trop différent du comportement animal. Nous ne remettrions pas en question un loup qui mange un mouton, ou un renard qui se faufile par « ses pas malicieux » pour arriver à …afficher plus de contenu…

Le poème raconte l'histoire d'un loup en fuite qui tombe sur un champ de moutons, un berger et un chien de garde endormis. Au lieu de saisir l'occasion, de se faufiler et de s'emparer d'un ou deux des moutons non gardés, sa cupidité prend le dessus. Il essaie de sortir de son élément et de s'habiller comme le berger. Son plan échoue et il est attaqué. À la fin du poème, Fontaine écrit ce qui suit aux vers 32 et 33 :