Les animaux malades de la peste jean de la fontaine
Le meurtre d’un misérable ne représente pas un crime pour la justice. « On n’osa trop approfondir / Du tigre, ni de l’Ours, ni des autres puissances , / Les moins pardonnables offenses . » (v. 44 à 46) Énumération : puissants s’étant confessés et dont personne n’a osé juger les crimes trop …afficher plus de contenu…
/ Manger l’herbe d’autrui ! quel crime abominable ! » (v. 59-60) Antiphrase : La Fontaine remplace le fait que l’âne a commis une erreur sans conséquence par le contraire pour critiquer la décision qui a été prise. Antithèse : oppose les mots « peccadille » et « cas pendable » ce qui crée contraste entre la banalité de l’erreur commise par l’âne et la sévérité de sa punition. Le système judiciaire juge les misérables trop