COULOUBALYMarie – Louise3 e b Exercice français p. 178 Comme après chaque débat, les animaux discutaient entre eux. Ceux qui étaient d’accord avec Sage l’Ancien essayaient d’influencer tant bien que mal les autres animaux qui doutaient de ces visions. Mais Moïse, le corbeau n’était pas du même poil que ces camarades. Il décida donc de voler de son perchoir où il sommeillait et et où il écoutait le discours jusqu’à la grange où tous étaient rassemblés. Tous étaient stupéfait car Moïse sortait rarement de son perchoir. Un grand silence pesait dans la grange jusqu’au moment où Moïse prit la parole.« Chers camarades, de mon perchoir, je n’ai pas loupé un seul mot du discours de Sage l’Ancien et c’est la première fois que j’entends une telle allocution. Je ne suis pas une personne agité mais plutôt calme et éveillé qui ne manque pas d’exprimer son avis quand je trouve cela nécessaire. Il est bien entendu que rare sont les fois où je m’exprime mais ce discours a touché un point sensible en moi que je trouve faux. Et je me dois de répliquer.Pensez vous qu’une révolution serait …afficher plus de contenu…

Nos grands – parents on vécu et participer à la guerre mondiale et de génération en génération aucune révolution n’a été faite entre la race humaine et animale. Chers camarades voyez vous que pendant cette grande guerre les humains s’entre tuaient d’une manière tellement violente qu’aucun adjectif ne pourrait décrire. Ils sont pourtant tous humains et ont les mêmes moyens de se défendre. Quand je parle des moyens, j’insinue que les humains sont de la même race et cela n’a pas empêché qu’un pays ou un état soit plus dominant que l’autre, malgré leurs indifférences.Or que nous, traités comme vous le dîtes comme de vulgaires animaux, nous n’avons pas les mêmes aptitudes ils sont bien plus apte à des responsabilités que nous. Nous sommes totalement différents et nous n’arrivons même pas