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Introduction:
Alors que la Révolution française n’a apporté que peu de progrès pour la femme, Olympe de
Gouges, pionnière emblématique de la lutte pour les droits des femmes, rédige en 1791 la
Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne calquée sur la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen proclamée le 26 août 1789.
Dans les articles qui précédent l’extrait que nous allons étudier, 1 à 5,Olympe de Gouges …afficher plus de contenu…

que”.
- Champ lexical du délit: “peine”, “puni”, “délit”, “appliquée” = application des lois en cas de désobéissance.
=> idée soutenue: on ne peut pas désobéir à une loi qui n’existe pas.
- Lexique du temps: participe passé “établie et promulguée”
- Adv “antérieurement”
⇨ Il s’agit de protéger les citoyens d’une justice arbitraire.
+ mention/ ajout “aux femmes” doit se trouver dans la loi si l’on veut l’appliquer aux femmes, sinon ce ne serait pas cohérent de les punir.
- Article 9:↳ DDHC, la loi est protectrice à l’égard des hommes:
- Termes “présumé innocenté”, “rigueur… réprimée”
=> Fondement du droit …afficher plus de contenu…

↳ Femme considérée domme responsable face à la loi.
↳ “droit” = elle est en cela = de homme.
- “Elle doit avoir celui de monter à la tribune”:
↳ Gouges réclame un droit qu’elle n’a pas (le droit à l'exécution des femmes).
= Il est bien question = entre H/F + entre les droits et les devoirs.
- Restriction finale “pourvu que” même que DDHC; intérêt général “l’ordre public” prime sur l'intérêt particulier.
= Les 3 propositions prennent le sens d’un raisonnement déductif qui met en évidence l’illogisme de la réalité des faits.
Conclusion:
Si les premiers articles suivent de près la DDH et se contentent de réclamer l’application de la loi pour les femmes comme pour les hommes, les articles étudiés montrent