Les cérémonies de commémoration et de commémoration

2500 mots 10 pages
Séances du 20/03/20 – Contenant
1- les réponses aux questions proposées en exercices.
2- L’explication du texte de Dominique Vidal avec un développement argumenté.
3- Le texte en annexe pour celles et ceux qui ont toujours du mal à accéder au Livre
Scolaire.
Réponses aux questions proposées. 1. L’auteur reproche aux cérémonies de commémoration, si ce n’est leur caractère mensonger, du moins leur tendance à occulter certaines vérités historiques. On pourrait reformuler sa thèse ainsi :
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37-38). Pour ce faire, il s’agit d’investir financièrement dans ces domaines, et notamment dans l’Éducation nationale, à travers les manuels scolaires et les professeurs.
II. Analyse et explication du texte.
Méthodologie
L’explication repose toujours sur l’organisation des idées en parties clairement définies. Les affirmations s’appuient obligatoirement sur des citations précises d’extraits, d’expressions ou de termes pertinents.
Dans le cas de mon développement, l’introduction repose sur une problématique : les liens entre la mémoire et l’Histoire sont-ils aussi clairs et permettent de présenter la Vérité du passé ?
Introduction proposée
Le texte de Dominique Vidal repose sur une opposition entre histoire et mémoire. Au premier
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Ainsi, les cérémonies de « commémoration », qui visent à se souvenir, à se remettre en mémoire un événement, triste ou heureux, délivrent dudit événement une « vision tronquée et truquée du passé »
(l. 11). Cette paronomase (voir question 4 b) fait ressortir les deux termes ainsi que, sur fond de ressemblance sonore, une différence de taille. Si l’adjectif « tronquée » peut laisser penser à une erreur ou à une omission, l’adjectif « truqué », lui, suppose une intention consciente, une tricherie, une supercherie. On sélectionne donc, plus ou moins consciemment, ce que l’on veut retenir d’un événement, ou au contraire, ce qu’on ne veut pas retenir, d’où l’expression « amnésie sélective » (l. 18). Le résultat de cette « amnésie », c’est que certaines « pages » du passé sont « oubliées » (l.

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