Les dernières nuits de paris soupault
Un caractère humain est donné à des choses inanimées.Du familier et de l’étrange Femme s’appelle GeorgetteRécit homodiégétique (qui raconte sa propre histoire) Il est un observateur, il a un regard sur le monde et sur les gens. C’est un habitant de la ville de Paris. Naturellement → Adverbe repris au superlatif. A la lecture de la première phrase, on s’attend à un roman d’amour.Le personnage de la prostituée n’est pas repoussoir. Un incipit qui informe non pas sur le personnage mais sur l’espace et le temps. La ville de Paris est rappelé à travers le titre dans l’incipit. Atmosphère onirique, le banal et le fantasque se côtoie.Georges Braque, Viaduc à l’estaque, 1908. Paris, Musée d’art moderne, Beaubourg.Incipit : surréaliste s’oppose à l’art …afficher plus de contenu…
Ces derniers valorisent plutôt le merveilleux à l’étrange, contrairement à Soupault et son ton plus ironique, ludique, COMPARAISON ESPRIT NOUVEAU Personnes réels, décrits par Soupault, mais pas de « je » narration de l’image d’autrui comme s’il l’avait vécu.Rapide description de la femmeListage de lieu.Recherche de la femmeLes personnes semblent racontés la même histoire de manière différentes.Dans le même quartier que les dernières nuits de Paris.Rythme rapide3e personne du sing, point de